LE PORT DU MASQUE ET LES ÉLUS AZURÉENS

Crédit : VILLE DU CANNET

Bientôt, tous les Niçois devront utiliser un masque en tissu pour pouvoir sortir !



C’est l’annonce faite hier par le maire de Nice Christian Estrosi ! Des masques lavables et réutilisables pendant un mois qui seront distribués à tous les habitants, sous 8 à 10 jours. 


Le maire de Nice devrait s’exprimer de nouveau dans les heures à venir pour donner le détail de la mise en place de ce dispositif.



L’édile de Nice qui a par ailleurs annoncé le passage du  couvre-feu à 20h dans plusieurs quartiers de la ville. Cela concerne notamment les quartiers Notre-Dame, Trachel ou Saint-Charles.


La pratique du sport est également seulement autorisée entre 6h à 12h puis de 18h à 20h. 




En parallèle la ville de Cannes a lancé une manufacture locale de masque en tissu avec une dizaine de couturiers !


Des protections qui seront offertes aussi aux habitants !


500 premiers masques ont été livrés hier à la mairie de Cannes 


Les habitants de Cannes recevront leur masque en tissu pour la fin du confinement


 


En parallèle la cité des festivals s’est doté d’imprimantes 3D pour fabriquer des visières.


 


A Antibes, toute la population aura son masque pour le début du déconfinement promet aussi le maire, JEAN LEONETTI.



La ville du CANNET a mis en place depuis le début du confinement avec les couturières du service municipal « Espace Loisirs Emile Roux » un service de fabrication de masques de protection, selon le modèle proposé par le CHU de Grenoble. La Ville achète les tissus, les fils à coudre et les élastiques... 


 


Les couturières montent les différentes couches de tissus en suivant le gabarit élaboré par le centre hospitalier grenoblois.


Ces masques sont actuellement distribués à des soignants et le seront prochainement aux habitants du Cannet.




Les masques seuls ne sont pas "la solution miracle" contre la pandémie de Covid-19, et leur usage généralisé dans la population n'est justifié que si les autres mesures barrière sont impossibles ou difficiles à mettre en place, a estimé hier le patron de l'Organisation mondiale de la Santé (OMS).